Pourquoi notre époque s’ingénie-t-elle à cacher la vérité sur le quatrième âge ?
Pourquoi vouloir à tout prix nous faire croire que la vie commence à soixante ans ?
Quel message envoie-t-on à la nouvelle génération en la confortant ainsi dans l’idée que ses dernières années seront peut-être les plus belles ?
Dans l’enfance, on cherche à vous élever pour vous conduire vers l’âge adulte. En revanche, personne ne vous apprend à être vieux…
“On passe le premier tiers de son existence à ramer pour monter la pente et le dernier à s’essouffler en sens inverse afin de ne pas redescendre…”

“Ce que je préférais chez ma mère, c’était son placenta. J’étais au chaud, c’était doux, peinard, un vrai petit Jésus…

Dans son dernier livre ” Près du ciel loin du paradis* “, paru le 18 octobre, JEAN-MARIE PERIER fait part aux lecteurs – avec réalisme et humour – son peu d’emballement à affronter les derniers cent mètres de la/sa vie… Et, afin d’exorciser sa panique des prochaines réjouissances, leur conte quelques histoires de vieux, “lesquelles m’aideront peut-être à m’habituer à l’avenir, loin d’un temps où je me croyais jeune… pour toujours”.


*Ed. Calmann-Lévy

Jean-Marie Périer / Près du ciel, loin du paradis / Calmann-Lévy

Voir aussi : https://www.fykmag.com/villeneuve-daveyron-jean-marie-perier-maison-de-la-photographie/

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