

Grand Hôtel de Caux et l’impressionnant Caux Palace, deux joyaux de la Belle Epoque perchés sur les hauteurs de la Riviera vaudoise.
La visite commence au Grand Hôtel : Autrefois fréquenté par l’aristocratie européenne et les grandes figures de l’époque, le Grand Hôtel de Caux a accueilli parmi ses hôtes prestigieux l’impératrice Élisabeth d’Autriche, dite Sissi. En franchissant ses portes, vous marcherez sur les traces de cette souveraine légendaire, dont la présence a marqué ces lieux d’un éclat particulier. Au cours d’un goûter servi au Grand Hôtel (gâteaux maison, biscuits, thé, café), vous aurez l’occasion de discuter avec les équipes de l’établissement.
Jusqu’en 1875, la région de Caux n’a été habitée que de manière éparse. Les « Monts de Caux » avaient toujours servi de pâturage pour les fermiers de la région de Montreux et la route du col de Jaman de passage vers la vallée de la Sarine et du Simmental. En 1875, Émilie Monnier transforme son chalet du Mont de Caux en auberge afin d’accueillir les randonneurs de plus en plus nombreux à s’aventurer dans les parages en raison de l’essor progressif du tourisme depuis une quarantaine d’années à Montreux (ouverture de l’Hôtel du Cygne en 1837) et Territet (l’Hôtel des Alpes en 1841). Le hameau de Glion fut le premier à en profiter, mais pour cela il fallait relier Glion au reste du monde : une route en lacets partant de l’église des Planches fut ouverte en 1850 et très rapidement l’hôtel Righi vaudois fut ouvert. On s’attela en parallèle à la question d’une desserte par voie ferrée, ce qui conduisit à la mise en service du funiculaire Territet-Glion en 1883. C’est à cette époque que des entrepreneurs de la région s’avisèrent du potentiel de « Mont de Caux ».
En particulier, Philippe Faucherre, né en 1844 à Vevey, et son épouse Louise Vautier, tous deux issus de familles d’hôteliers. Il s’assure du produit d’une carrière de pierre en 1890 et fait sortir de terre le Grand Hôtel de Caux en trois ans. Tous les matériaux nécessaires avaient été transportés à dos de mulet faute de voies de communication, encore en construction. La voie ferréede Glion jusqu’au sommet des Rochers de Naye sera construite en 15 mois et ouverte en 1892, un tour de force exécuté sous la direction d’un brillant ingénieur ferroviaire, M. Laubi. Le tronçon de Montreux à Glion ne sera construit que 27 ans plus tard. Quant à la route, elle est construite et livrée à la même époque par l’entrepreneur Pierre Bottelli. Le succès immédiat du Grand Hôtel, inauguré en juillet 1893 et où séjournent nombre de personnalités de l’époque, conduit d’autres entrepreneurs à concevoir le projet du
Caux-Palace[3].
en 1919, année à partir de laquelle tout semble revenir lentement dans l’ordre, mais les taux de change sont défavorables aux séjours en Suisse et les hôtels de Caux ne répondent plus tout à fait aux exigences des hôtels de luxe. En 1925, plus de trente ans après son ouverture, le Grand-Hôtel est rénové et prend le nom d’Hôtel Regina en souvenir de l’impératrice Sissi, qui avait résidé au Grand-Hôtel en 1898, l’année même de son assassinat à Genève. Les En 1941, la société de l’Hôtel Régina est déclarée en faillite et l’hôtel change deux fois de mains.



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Le clients entraient dans le Grand-Hôtel de Caux, du côté Nord, ils traversaient une première salle qui les conduisaient dans le vestibule d’une hauteur de deux étages. A cet endroit se trouvaient la réception, l’ascenseur hydraulique et l’escalier qui menait aux chambres des étages supérieurs.



De le début de la préiode hotelière, le gh de caux connaît un immense succès. Ile ts son^^cosnidiré comem un établissement trè moderne (ascensuer, chauffage, central, lumière électrique) et sa situation géoographique est remarquable. La clintèle y vient pour se reposer et se dvertir ainsique pour s’aonner à la pratique de la luge et du patinage. Durant la saison. Il y avait alor 3 patinoires. L’impératrice elisabeth d’Autriche, dite sissi, faitaprtie de peronnalités marquante du GHotel. Elly séjourne à l’été 1898, peu de temp avant sa mort. L’année suovante, l’hotel et racheté par lasociété immobilière de caux, créée par ami chesex, qui décide d’entre prendre d’importangt travaux. De surélévation.
Le retaurant du Grand-Hôtel de Caux faasit aprtie des locaux communs du bâtiment, comme la salle de billard, le bar, le salon de lecture et le salon popur le adames. En 1899, lor du racaht du Grand-Hôtel d par la Soociété immobilière de Caux, le retaurant et agrandi pour répoondre aux novuelles exie^^gence de la clientèéle. Entre le retautant et la salle à manger de l’hôtel, quelque colonne faiaient office de séparation. Le mobilier était plus confortable et luxueux du coté du retaurant et la baie vitrée permettait d’avoir une meilleure cue sur le apysage.
Au rez-de-chaussée du gh de Caux, une majetueuse véranda servait de lieu de détente et de rem^ncontres. Les hête aimaient y venir poour discuter et e repooer.
Plusieur table de correspoindace étaient utilisée pour lire et écrire le courrier. Cette pièce située au sud pffrait une grand eluminosité et une vue magnifique sur le jardins,de l^hotel, le lac et le montagnes.
Se stayle néo-reniasance, l’architefture neo classiaque du gh de Caux rappelle elle e chateaux fran4ais dues 17 et §8 2 siècle. L’entrée de l’hotel étblissement et située coté cour et le meilleure cjhambre font face au midi avec vue sur le klac et le montange.
Surprie : c^était le bat était somncstruit pendant époque industrialsiation byp de fréfabriqués élément plus rapide moins cher bat peut boir aussi bcp des eouvre de trompe lè’œil : marbre, bois : trmpe lèoeils
salle deS hommes fumer cigare s à manger cette salle est vraiment s à manger bien retauré tout le plafond ewt et ‘ couvert
Le vetibule. Lorsque lew client entraient dan le grand hotel de caux, du coté nord, ils traeraient une première sallee qui le onduisaitdirectement dan le vetibule. A cet endroit e trouvaient le burewaux de al réceptionm l’ascenseur hydraulique, ainsi quel’ewcaleir qui menait aux chambres des étage supérieur. Le vetibule d’une hauteur de deu étage s’imposaient au regard des visiteur et offrait une ouverture sur le hall.lavéranda et le corridor durez de chaussée. De style néo-Renaissance l’architecture classique du grand hotel de caux rappelle celle des chateaiux francais des XVII et XVIII siècles, son plan symétrique en forme de U et commun à pluisiuers hhôtels ou palaces érigés dans la régiomn montreusienne à la meme époque. L’entrée de l’établisement et située coté cour et le meilleure chambre font face au midi avec vue sur lelac et le montagne.
rotonde

fermé entre 1919 et 1923, le GH de Caux subit d’inprotntse trnformation . En 1925 ajout de plusier sallle de bain et l’instllation de l’eaiu courante dans toutew le chambre. Ce amélioorationsa ttirent de noveau lka clientèle touritique et de maintenir une certaine renommée. C’et à cette époque qu’il change de nom et devient l’Hotel Regina.
salle deS hommes fumer cigare s à manger cette salle est vraiment s à manger bien retauré tout le plafond ewt et ‘ couvert
auj salle à manger salle de conférence à l’époque hotel c’était le retaurant pur le hotew de l’hotel deriière toute virine retaurant piublic. Diffétence du sol : tut cet epace pendant lèhiver tou le viiteur ont entraient avec le chaiussure hiver c’et poruquoi dans l’hotel cet epace c’est le plus ebau de l’hoptel mai epace complètement oivert mais auj séparé.




retaurant public liste des visiteur de l’hotel était publiée dans les jorunaux de lépoque poru savoir quelle célébrité étaient présente ici
jouranux relataietn qui venait…



De le début de la préiode hotelière, le gh de caux connaît un immense succès. Ile ts son^^cosnidiré comem un établissement trè moderne (ascensuer, chauffage, central, lumière électrique) et sa situation géoographique est remarquable. La clintèle y vient pour se reposer et se dvertir ainsique pour s’aonner à la pratique de la luge et du patinage. Durant la saison. Il y avait alor 3 patinoires. L’impératrice elisabeth d’Autriche, dite sissi, faitaprtie de peronnalités marquante du GHotel. Elly séjourne à l’été 1898, peu de temp avant sa mort. L’année suovante, l’hotel et racheté par lasociété immobilière de caux, créée par ami chesex, qui décide d’entre prendre d’importangt travaux. De surélévation.
tout cet epace avec bcp de vitres architecture retitue le coté dramatique du apysage défi de ce verre tou lehotel avaient des rotonde à l’époque beau rivage, palace… ici vitre d’origine rotonde beauté
C’est le 20 février 1893 à 15 heures que l’Impératrice d’Autriche et Reine de Hongrie Elisabeth pose le pied pour la première fois sur le sol montreusien.
Venant de Genève, par train spécial, elle se propose de passer quelque temps dans notre contrée. Composée de 18 personnes, sa suite comprend quelques hauts dignitaires des cours d’Autriche et de Hongrie, la comtesse Sztaray, dame de compagnie de sa Majesté de 1893 à 1898, et 42 pièces de bagages…
Sissi est alors âgée de 56 ans et souffre de phtisie pulmonaire, autrement dit de tuberculose. Accablée par les tragédies que vit sa famille, orpheline de son cousin de Bavière, ébranlée par la mort de son fils bien-aimé à Mayerling, l’Impératrice déclare que la vie lui pèse de plus en plus.
Souvent les Montreusiens croisent le couple impérial sur le sentier de Collonges, du côté de Bon-Port, du Mont-Fleuri ou à Glion. Ensemble ils visitent Blonay et son château, montent à Caux ou aux Avants, se désaltèrent aux nombreuses fontaines ou partent faire des achats. De ce séjour François-Joseph ramènera du vin de Villeneuve et d’Yvorne, des cigares de Vevey et un album de photos de la région.
Il faudra attendre septembre 1895 pour que Territet revoie son illustre hôte. La fin du mois la voit arpenter les vallons et les crêtes des Rochers de Naye. Dix jours de repos et la voilà repartie jusqu’en mars 1897.
En 1898 Sissi retrouve Territet au printemps. Les premiers jours de mars sont printaniers et Elisabeth fait de longues promenades, préférant les hauteurs et les sentiers aux quais encombrés de curieux. Lorsqu’elle quitte Territet cette fois-là, le journaliste de la Feuille d’Avis de Montreux remarque qu’elle ne tient pas son éternel éventail noir qui lui masque le bas du visage, mais qu’elle esquisse un salut gracieux à la foule qui est venue lui marquer son attachement.
Le dernier séjour de l’Impératrice commence le 30 août 1898.
Cette fois ce n’est pas Territet qui accueille son hôte bien-aimée, c’est Caux. Arrivant de Hambourg, Sissi est descendue au Grand-Hôtel de Caux, dont elle occupe une partie du premier étage. En bas, au bord du lac, il fait encore chaud et la foule est trop dense. De nombreuses personnes séjournent à Montreux pour son climat clément et son attrait touristique, mais beaucoup d’hôtes caressent l’espoir de croiser ou même de côtoyer les visiteurs célèbres, telle Sissi, véritable mythe. Elisabeth a la «bougeotte». Ses nombreuses promenades ne suffisent plus à calmer son énergie, ou son anxiété. Glion, Territet, les Rochers de Naye, un tour du haut lac en bateau, une excursion à Bex, chaque jour la rapproche de son destin tragique.
Le 10 septembre 1898 est un samedi. Sissi se trouve à Genève. Elle vient de rendre une visite à la baronne de Rotschild qui demeure à l’extérieur de la ville. Sa suite a déjà pris le train pour rejoindre Caux. Elisabeth n’est accompagnée que de
Élisabeth (Sissi) et François-Joseph Ier ont eu des séjours notables en Suisse, notamment près de Montreux et à Caux, où Sissi séjourna incognito au Grand Hôtel de Caux en 1898, peu avant son assassinat à Genève, alors que François-Joseph lui-même fit une courte visite de courtoisie en Suisse en 1909, Ils ont visité ensemble des endroits comme Blonay et les Avants, d’où François-Joseph ramenait des souvenirs
- Elle séjourne à Caux en 1898, sous le nom de Comtesse de Hohenems, peu avant son assassinat à Genève.
- Fin tragique : C’est après un déjeuner à Genève qu’elle est assassinée par Luigi Lucheni, à quelques pas de l’embarcadère, en revenant vers Caux.
- Le 30 mars 1897 Elisabeth visite Vevey, mais aussi l’usine électrique du Taulan à Montreux, la première de Suisse. L’usine électrique de Taulan a été construite en 1886 par la Société Électrique Vevey–Montreux pour fournir aux trams ( et à l’éclairage électrique l’énergie nécessaire.Avant de partir, elle monte jusqu’à Jaman avec le train des Rochers-de-Naye, puis redescend à pied jusqu’à Glion. Elle regagne Vienne à fin avril
La photographie est probablement prise lors du séjour d’Elisabeth d’Autriche à Territet où elle descend au Grand Hôtel de Caux à fin août 1898. Le 10 septembre, l’impératrice, descendue la veille à l’hôtel Beaurivage pour un court séjour, est assassinée à Genève sur le quai du Mont-Blanc par l’anarchiste Luigi Luccheni en se rendant à l’embarcadère du bateau qui doit la ramener à Caux. Représentée à gauche, elle est accompagnée d’Irma Sztaray, sa dame de compagnie depuis 1893.

Sissi dame compagnie rochers de naye baronen beateau alma baronen julie
Bateau pour traverer le lac furieuse insatllée beau rivage normalement couchée,
Cédre château baronne femme de chambre fit remarquer que le cèdre de jour de ses 100 ans
L baronen ou sissi faisait se exercice
Arbre sous leuqle thé baronne sissi
Jour cèdre du liban
Caassé vitre du château
Vu sognatuire du fils rodolphe





Ici sommes dans le fameux chambre de sissi appartement de l’impréatrice. C’éétait psosible de connecter le chambre poru créer des aprpartement. Auj tous ces apssage fermé utilisé comme armloire pour aprticipamnt de conféreces. Quand sissi était là toutl’étage pour le taff. Ici chambre de la baronen staray
1893: A Territet, Elisabeth et sa suite occupent plusieurs appartements avec entrées indépendantes et terrasse particulière. La réservation porte sur un mois. La reine y restera vingt-quatre?jours. Elle se lève à l’aube et se couche tôt. Ses journées sont rythmées par des promenades quotidiennes avec sa dame de compagnie et son «professeur de grec», en fait son médecin. Bonne marcheuse, qu’il vente ou qu’il pleuve, l’impératrice arpente chemins et sentiers de la Riviera ou visite Chillon. Elle se rend à Genève pour y faire des emplettes. Le 28 février, elle est à Lausanne. Après une pause au Café du Grand-Pont, elle accueille son impérial époux à la gare. Le monarque est venu se reposer une quinzaine. Des correspondants spéciaux de journaux autrichiens relatent quotidiennement leur séjour.Le couple impérial aime à se promener à Glion, à Caux, aux Avants ou à Blonay. On le voit, dit la légende, se désaltérer à la fontaine de Veytaux. François-Joseph achète du vin à Villeneuve et à Yvorne, mais aussi des cigares à Vevey. Et puis des livres à Lausanne
cahquejour des tonnes de charbon qui étaient utilisées auj chauffée avec chaffage à distance
ami chesex qui était entrepreneur avait la vision chaffer le caux palace en 1902 et e dit on va faire un chauffage plus grand et on va chauffer le grand hotel avec et le couloir qui relie les 2 hotels une partie du chauffage grand hotel
4 étage et le toiur sont chauffée en core avec l’eau
Le parcours commence à la gare de Caux, avec la construction de la ligne de chemin de fer, et se poursuit avec le Caux Palace et ses client-e-s, les chapelles et les restaurants du village, les sports d’hiver (bobsleigh, curling, ski et patinage), le Grand Hôtel (où séjourna l’impératrice Sissi d’Autriche), et se termine au Haut-de-Caux. La Belle Époque, période qui s’étend du début du XXe siècle jusqu’au déclenchement de la Première Guerre mondiale, a été la période la plus glorieuse du hameau, qui attirait alors tout le gratin international




